Un choix

Le contrepoids de fer heurte la terre du seigneur guerrier Darkyode. Sa reputation grandissante a attiré Schisme au confins du Japon. Des routes cahoteuse et mal entretenus temoignent en coeur d'un manque de moyens flagrant. Les maison de bois et de paillasse qui jonchent la terrasse terraformé semble en tres mauvaise etat et le vent m'apporte l'odeur des mines et des forges. Je m'appuis sur mon guan dao dont la lame lui dans un soleil a demi couvert par des nuages d'orage menacants. Les anneaux de fer accroché a ma lame tinterent lorsque le manche s'abbatit a nouveau au sol. Je reprend ma marche. Le vent de la tempete naissante fait se mouvoir les tissu de mon armure et s'entrechoquer les plaques de renfort faisant vibrer l'acier sur ma peau. La pluie m'assaille a mi chemin du village qui s'agite pour se mettre a l'abri. Les forges continuent leurs sombre fracas tandis que les mineurs rentre avec des boeuf chargé de minerais. Le torrent s'abbat alors que je traverse les portes de la ville. J'entre alors dans une auberge en bordure de la route principale.

Le gérant de l'auberge se présenta, neutre, et proposa une chambre pour 5 Mons - un prix très acceptable. Son auberge n'était certes pas d'un charme sortant de l'ordinaire, mais la propreté des lieux et la pluie diluvienne qui tombait en dehors de ses murs étaient de bons arguments de débourser cette modique somme.

-5 mons... Tres bien, les voici. Arigatô.

Il s'inclina en signe de remeciement puis s'installa a une table en regardant la pluie. Il sais qu'ici dans ce pauvre village se rencontre les Nezumi, le clan du Daimyo Darkyode Nezumi. La pluie fait bruissé les fougere et les feuille des arbres, un eclaire stria le ciel, suivis d'un grand coup de tonnerre. Akira ne veux pas attendre, ses pensés derive toujours vers ce Daimyo. Il manque de soldat, la ville n'est pas protegé par des tours de garde. Il devait le voir des se soir. Le soldat enfonce son eboshi sur sa tete se tourne vers le gérant et s'incline en signe de respect.

-Je ne sais pas a quel heure de rentrerai, excusez moi par avance du desagrement.

C'est un debut de soirée agreable malgres la pluie. Il passe devant les forges ou des travailleurs actionne un grand soufflet qui attise les flammes. Dans un coin, des forgerons martelle l'acier de la mine, l’épurant au maximum afin d'en fait peut etre un katana de second main tout a fait acceptable. Le village prosperera dans la sueur. Il fait un signe de respect, comme le veux son education, et demande a ce qu'on lui indique la demeure Nezumi. Il s'y dirige d'un pas sur, faisant tinter a chaque pas les anneau contre l'acier de sa lame. Le village n'etant qu'un petit bourg pauvre, il arrive vite a une maison plus imposante que les autres. Il entre dans la cour et se met sous l'abri, juste avant l'entré de la maison.

Deux ninjas en uniforme armés de bâtons le questionnaire sur ses intentions, depuis la dernière révolte, les gardes du patron Nezumi étaient très méfiant. Toutefois, cet homme en tunique de guerrier n'avait rien d'un assassin. Ils le firent patienter.

L'un d'eux sonna une clochette sur la porte, son cri strident résonna dans la petite cours de la demeure.
Des légers bruits de pas s'approchèrent doucement du soldat, enfin, le roulement de la porte lourde se fit entendre.

Mon ombre apparut sur le pas de la porte, elle s'étala jusqu'à toucher l'étranger.

" - Bonjour étranger, pourquoi désires-tu me voir ? "

IL s'agenouilla a meme la neige et placa son frot au sol, en signe d'allegeance. La neige mord sa peau emplifiant en cette instant son impression d'irrealitée. Sa voix raisonna sur les roché couvert de neige. Ses paroles furent simple et sans detour.

-Je suis soldat, je suis formé a servir, alors, onegai, laisser moi vous aider a batir votre empire.

La neige s'est arreté pour lui. Elle chute lentement sans jamais toucher le sol. Le moment de flottement marqua l'attente de la reponse. L'hiver est eternel et le voyage accomplis.

Schisme posa un pied a terre, la tete toujours basse. La neige s'est retrenformé en pluie a ses yeux. Il leva la tete vers l'ombre, presenta son Guan Dao.

-Mon bras est votre. De combien s’élèvera le droit de passage et quand entamerai-je ma garde?

L'oriflamme des nezumi viendrais bientot ornée la lance d'Akari.

"Le droit de passage sera d'autant que tu pourras en tirer, mon ami.
Maintenant, vole avec l'étendard de la famille, et protège nos frontières, l'ennemi est proche, il est vile et sans moral. N'hésite pas à tuer si jamais tu estimes que c'est nécessaire."

- Bien.
Il s'incline est ressortit lentement a reculons avant de se retourné, sa lance ponctue ses pas de bruits d'acier longtemps avant de disparaitre dans le bruissement de l'eau. Il rentre alors vers l'auberge, laissant le Daimyo a ses reflection et a la froidure paisible des pluies saisonnière.