Réveil brutal
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Shogun :: Zone RP :: Kureiji Gake (Mihari-Dai) :: Mihari-Dai
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Réveil brutal
par Torko Sam 9 Juil - 23:58
- Et tu penses que tu vas réussir ?
La voix qui avait murmuré cette phrase était pure et calme. Il faisait nuit noire. Les arbres frémissaient avec le vent, on aurait dit que le noir de la nuit les faisait trembler d'effroi. Torko se trouvait en face d'eux, une torche à la main. Les trois interlocuteurs se tenaient debout, à la lisière de la forêt bordant le village. La discussion paraissait tendue.
- Je ne l'ai jamais autant été, Sire, répondit-il tout bas en s'adressant au troisième homme, qui restait muet. Sa voix était chargée de respect, et, pour achever sa soumission, il inclina légèrement la tête vers le bas.
L'homme qui semblait être le chef se tenait droit, fièrement, observant de haut son vassal qui lui faisait son acte de foi. Il était impossible de distinguer son visage, un capuchon se prolongeant d'une longue cape sombre lui recouvrait la face. Son second, plus petit, se tenait quelque peu en retrait, arborant la même cape noire. La torche qu'il tenait en main laissait transparaître quelques traits de son visage.
Les flammes des torches frémirent lorsqu'il daigna prendre la parole de sa voix grave et imposante :
- De toutes façons, il n'a pas le choix.
Le chef s'était s'adressé à son associé alors que son regard avait fixé Torko. A peine avait-il fini sa phrase que ses yeux jaunes s'allumèrent subitement.
Torko se réveilla en sursaut, son corps tout entier trempé de sueur. Il se trouvait sur le lit d'une auberge. Que s'était-il passé ? Suivant le fil de ses pensées, les évènements lui revenaient peu à peu, faisant disparaître le flou qui régnait dans son esprit. Ca y est, il se rappelait : après avoir défié Darkyode Nezumi à Muranorojin, il s'était hâtivement dirigé vers le Sud pour échapper à une éventuelle poursuite, se retrouvant ainsi dans un véritable labyrinthe de grottes. Il se souvenait avoir eu de nombreuses hallucination à partir de cet endroit : les murs de granit étaient tapissés de portraits de son père, lui causant le plus grand désarroi. Pour couronner le tout, il était pris de violents maux de tête et la fatigue le gagnait. Lorsqu'il avait enfin réussi à sortir de ce lieu qu'on appelait Buraindo no Dokutsu, les portes de la ville de Mihari-Dai l'accueillaient chaleureusement. La fatigue était à son comble, et Torko s'était précipité dans cette auberge pour y passer la nuit, et tenter de faire taire son mal de tête atroce. Maintenant, la question qu'il se posait, c'était : "Qu'est ce qui lui avait causé tout cela ? Les maux de tête, les hallucination ?". Il essaya de se rappeler tout ce qu'il avait mangé durant les derniers jours, mais rien ne lui paraissait anormal ... à moins que ... le saké ! Le verre de saké que Darkyode Nezumi lui avait servi n'était autre qu'un poison à action lente, non mortel certes, mais terriblement efficace.
Désormais bien réveillé, le jeune homme se souvenait de ce pourquoi il s'était rendu ici : il fallait faire taire les Nezumi, et pour cela rejoindre le Shogunat, le seul véritable opposant au régime que voulait instaurer cette famille. Habillé, il descendit donc dans le hall de l'auberge, qui n'était autre qu'un café où se réunissait la moitié de la population avant d'aller vaquer à ses occupations habituelles. Autant dire que la salle était bondée. Sa tête allant un peu mieux, il décida qu'il pourrait supporter le bruit et l'oppression de cet endroit, et, faute de tables vides, il s'assit en face d'un jeune homme et commanda un thé vert. Il s'agissait d'un samouraï, à en juger le katana appuyé contre le mur à sa droite. Torko se trouvait en face d'un vrai samouraï, de son âge qui plus est ! Lui qui rêvait d'être samouraï mais qui avait arrêté les entraînements quelques jours plus tôt pour venger son père, était envieux de ce guerrier. Il aurait pu être à sa place. Il aurait dû etre à sa place.
Voyant qu'il était dévisagé, l'homme en question prit la parole :
[J'invite Sydno à se joindre à ce RP]
La voix qui avait murmuré cette phrase était pure et calme. Il faisait nuit noire. Les arbres frémissaient avec le vent, on aurait dit que le noir de la nuit les faisait trembler d'effroi. Torko se trouvait en face d'eux, une torche à la main. Les trois interlocuteurs se tenaient debout, à la lisière de la forêt bordant le village. La discussion paraissait tendue.
- Je ne l'ai jamais autant été, Sire, répondit-il tout bas en s'adressant au troisième homme, qui restait muet. Sa voix était chargée de respect, et, pour achever sa soumission, il inclina légèrement la tête vers le bas.
L'homme qui semblait être le chef se tenait droit, fièrement, observant de haut son vassal qui lui faisait son acte de foi. Il était impossible de distinguer son visage, un capuchon se prolongeant d'une longue cape sombre lui recouvrait la face. Son second, plus petit, se tenait quelque peu en retrait, arborant la même cape noire. La torche qu'il tenait en main laissait transparaître quelques traits de son visage.
Les flammes des torches frémirent lorsqu'il daigna prendre la parole de sa voix grave et imposante :
- De toutes façons, il n'a pas le choix.
Le chef s'était s'adressé à son associé alors que son regard avait fixé Torko. A peine avait-il fini sa phrase que ses yeux jaunes s'allumèrent subitement.
Torko se réveilla en sursaut, son corps tout entier trempé de sueur. Il se trouvait sur le lit d'une auberge. Que s'était-il passé ? Suivant le fil de ses pensées, les évènements lui revenaient peu à peu, faisant disparaître le flou qui régnait dans son esprit. Ca y est, il se rappelait : après avoir défié Darkyode Nezumi à Muranorojin, il s'était hâtivement dirigé vers le Sud pour échapper à une éventuelle poursuite, se retrouvant ainsi dans un véritable labyrinthe de grottes. Il se souvenait avoir eu de nombreuses hallucination à partir de cet endroit : les murs de granit étaient tapissés de portraits de son père, lui causant le plus grand désarroi. Pour couronner le tout, il était pris de violents maux de tête et la fatigue le gagnait. Lorsqu'il avait enfin réussi à sortir de ce lieu qu'on appelait Buraindo no Dokutsu, les portes de la ville de Mihari-Dai l'accueillaient chaleureusement. La fatigue était à son comble, et Torko s'était précipité dans cette auberge pour y passer la nuit, et tenter de faire taire son mal de tête atroce. Maintenant, la question qu'il se posait, c'était : "Qu'est ce qui lui avait causé tout cela ? Les maux de tête, les hallucination ?". Il essaya de se rappeler tout ce qu'il avait mangé durant les derniers jours, mais rien ne lui paraissait anormal ... à moins que ... le saké ! Le verre de saké que Darkyode Nezumi lui avait servi n'était autre qu'un poison à action lente, non mortel certes, mais terriblement efficace.
Désormais bien réveillé, le jeune homme se souvenait de ce pourquoi il s'était rendu ici : il fallait faire taire les Nezumi, et pour cela rejoindre le Shogunat, le seul véritable opposant au régime que voulait instaurer cette famille. Habillé, il descendit donc dans le hall de l'auberge, qui n'était autre qu'un café où se réunissait la moitié de la population avant d'aller vaquer à ses occupations habituelles. Autant dire que la salle était bondée. Sa tête allant un peu mieux, il décida qu'il pourrait supporter le bruit et l'oppression de cet endroit, et, faute de tables vides, il s'assit en face d'un jeune homme et commanda un thé vert. Il s'agissait d'un samouraï, à en juger le katana appuyé contre le mur à sa droite. Torko se trouvait en face d'un vrai samouraï, de son âge qui plus est ! Lui qui rêvait d'être samouraï mais qui avait arrêté les entraînements quelques jours plus tôt pour venger son père, était envieux de ce guerrier. Il aurait pu être à sa place. Il aurait dû etre à sa place.
Voyant qu'il était dévisagé, l'homme en question prit la parole :
[J'invite Sydno à se joindre à ce RP]
Dernière édition par Torko le Dim 10 Juil - 20:15, édité 1 fois
Torko- Messages : 31
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Re: Réveil brutal
par Sydno Dim 10 Juil - 16:37
"Bonjour et bienvenue, vous êtes nouveau dans le village ? Je me présente, je suis Sydno Nabeshina le shogun du village, si vous voulez des renseignements je suis là ! Et désolé si je parais impertinent mais... Qui êtes-vous ? Vous me semblez quelque peu angoissé et malgré cela je ressens beaucoup de sérénité à vos côtés ! "
Sydno était de nature curieuse, il aimait faire connaissance avec ses semblables, c'est donc pour cela qu'il descendait souvent dans l'auberge la plus connue du village, pour rencontrer tous les habitants, leur demander leur opinion sur les évènements du moment et surtout sur la gestion du village ! Sydno n'avait qu'une seule envie dans l'instant présent : faire resplendir Mihari-Dai et en faire un lieu d'accueil réputé à travers le monde !
Sydno toujours curieux continua de questionner l'homme :
" Désolé de ne pas vous laisser le temps de parler mais en tant que nouveau arrivant, que pensez-vous de ce village et de sa gestion politique ? Et comment réagiriez-vous en tant que citoyen si je faisais construire un poste de garde ? "
Sydno était néanmoins intrigué par cet homme, il avait envie d'en savoir savoir plus sur lui, il aimerait même que cet homme se joigne à sa cause...
Sydno était de nature curieuse, il aimait faire connaissance avec ses semblables, c'est donc pour cela qu'il descendait souvent dans l'auberge la plus connue du village, pour rencontrer tous les habitants, leur demander leur opinion sur les évènements du moment et surtout sur la gestion du village ! Sydno n'avait qu'une seule envie dans l'instant présent : faire resplendir Mihari-Dai et en faire un lieu d'accueil réputé à travers le monde !
Sydno toujours curieux continua de questionner l'homme :
" Désolé de ne pas vous laisser le temps de parler mais en tant que nouveau arrivant, que pensez-vous de ce village et de sa gestion politique ? Et comment réagiriez-vous en tant que citoyen si je faisais construire un poste de garde ? "
Sydno était néanmoins intrigué par cet homme, il avait envie d'en savoir savoir plus sur lui, il aimerait même que cet homme se joigne à sa cause...
Sydno- Admin
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Re: Réveil brutal
par Torko Lun 1 Aoû - 1:26
Ainsi donc, c'était lui ! Il se trouvait enfin en face du Shogun en personne ! Il lui fallut plusieurs secondes avant de digérer cette information et les nombreuses questions dont l'assaillait cet homme vénérable. Plusieurs jours déjà qu'il le cherchait hâtivement, et voilà qu'il se présentait et engageait lui-même la conversation. La chance semblait enfin l'accompagner dans sa mission ! Ils avaient tant de choses à se raconter ... Il avait tant de choses à lui raconter ! Des nouvelles de l'intérieur de l'Île, de ce que le clan des hérétiques faisait endurer à la population. Il allait enfin pouvoir avoir une discussion stratégique sérieuse avec le chef de la deuxième armée la plus puissante du pays, visant à les protéger contre ceux qui les menaçaient tous. Torko était un homme plutôt enjoué, il s'extasiait souvent de choses qui lui arrivait, parfois banales ; et se trouver en face du samouraï qui allait l'aider dans sa quête le mettait dans une joie presque incontrôlable. Un large sourire illuminait son visage, et l'envie lui prenait alors de monter sur la table et de proclamer en hurlant à l'assemblée d'ivrognes qui s'agrippaient au bar, de fermiers qui sirotaient une bière avant d'aller à la moisson, de femmes qui gazouillaient entre elles avant de rentrer s'occuper de leur foyer ; qu'ils allaient tous rester libres grâce à cet homme, que dis-je ce messie, qui se trouvait assis en face de lui.
Mais le sourire du jeune homme s'éteint presque aussitôt. Prenant soudainement conscience de la gravité de la situation, il fut parcouru de plusieurs frissons qui provoquèrent des spasmes sur tout le corps. Sa vision était devenue floue, et, effrayé, il regarda lentement autour de lui, analysant chaqun des gestes de chaque client présent. Chaque ivrogne, chaque fermier, chaque jeune femme ou chaque grand-mère lui apparaissait comme un espion, un ennemi du régime qu'ils voulaient, ayant préparé méticuleusement la manière dont il se ferait avoir. Un gros gars saoul se leva à l'autre bout de la salle, monta sur sa chaise et fracassa son verra contre le sol dans un éclat de rire sonore. Ils avaient préparé leur plan à la perfection. Ce fut comme un signal pour Torko. Il ne fallait pas se faire remarquer. Arborant un sourire peu crédible, une goutte de sueur perlant sur son front et tous ses poils toujours hérissés, il répondit d'une voix qu'il voulait enjouée :
"Effectivement, je suis nouveau ici, je me suis perdu pendant deux jours dans votre fichu labyrinthe de grottes, hé hé ! ... Inutile de préciser que ce rire était tellement forcé que n'importe quel imbécile bourré de l'auberge aurait constaté qu'il cachait son jeu. Mais il reprit tout de même : Je ne suis qu'un voyageur, vous savez, mais si je peux me permettre une suggestion, ce n'est pas d'une tour de garde, dont vous avez besoin, mais de panneaux !" Tentant le tout pour le tout, d'un geste volontaire mais feint du contraire, il renversa sa tasse de porcelaine par terre, qui se fracassa en une multitude de minuscules morceaux, et s'empressa de ramasser ce qu'il pouvait. Le Shogun, courtois, se pencha avec sa serviette de tissu et entreprit d'éponger le sol de bois. Le saisissant violemment par le col, Torko lui chuchota d'un ton nerveux que personne n'était en sécurité ici, et surtout pas eux. L'interpellé, sans comprendre, l'interrogea à voix haute, presque naïvement :
"Ah oui, vous êtes sûr ? Pourtant je viens ici chaq..." N'écoutant que son instinct de survie, le jeune homme lui plaqua sa main contre la bouche pour l'empêcher de finir sa phrase et ainsi qu'ils se fassent repérer. Il lui murmura, toujours aussi paniqué, qu'il leur fallait quitter au plus vite cet endroit inhospitalier, et qu'il devait suivre scrupuleusement ce qu'il lui ordonnait.
Son coeur tambourinait contre sa poitrine, ses muscles se tendaient, son visage était maintenant trempé de sueur froide : tout son corps était paré en cas d'imprévu majeur.
Mais le sourire du jeune homme s'éteint presque aussitôt. Prenant soudainement conscience de la gravité de la situation, il fut parcouru de plusieurs frissons qui provoquèrent des spasmes sur tout le corps. Sa vision était devenue floue, et, effrayé, il regarda lentement autour de lui, analysant chaqun des gestes de chaque client présent. Chaque ivrogne, chaque fermier, chaque jeune femme ou chaque grand-mère lui apparaissait comme un espion, un ennemi du régime qu'ils voulaient, ayant préparé méticuleusement la manière dont il se ferait avoir. Un gros gars saoul se leva à l'autre bout de la salle, monta sur sa chaise et fracassa son verra contre le sol dans un éclat de rire sonore. Ils avaient préparé leur plan à la perfection. Ce fut comme un signal pour Torko. Il ne fallait pas se faire remarquer. Arborant un sourire peu crédible, une goutte de sueur perlant sur son front et tous ses poils toujours hérissés, il répondit d'une voix qu'il voulait enjouée :
"Effectivement, je suis nouveau ici, je me suis perdu pendant deux jours dans votre fichu labyrinthe de grottes, hé hé ! ... Inutile de préciser que ce rire était tellement forcé que n'importe quel imbécile bourré de l'auberge aurait constaté qu'il cachait son jeu. Mais il reprit tout de même : Je ne suis qu'un voyageur, vous savez, mais si je peux me permettre une suggestion, ce n'est pas d'une tour de garde, dont vous avez besoin, mais de panneaux !" Tentant le tout pour le tout, d'un geste volontaire mais feint du contraire, il renversa sa tasse de porcelaine par terre, qui se fracassa en une multitude de minuscules morceaux, et s'empressa de ramasser ce qu'il pouvait. Le Shogun, courtois, se pencha avec sa serviette de tissu et entreprit d'éponger le sol de bois. Le saisissant violemment par le col, Torko lui chuchota d'un ton nerveux que personne n'était en sécurité ici, et surtout pas eux. L'interpellé, sans comprendre, l'interrogea à voix haute, presque naïvement :
"Ah oui, vous êtes sûr ? Pourtant je viens ici chaq..." N'écoutant que son instinct de survie, le jeune homme lui plaqua sa main contre la bouche pour l'empêcher de finir sa phrase et ainsi qu'ils se fassent repérer. Il lui murmura, toujours aussi paniqué, qu'il leur fallait quitter au plus vite cet endroit inhospitalier, et qu'il devait suivre scrupuleusement ce qu'il lui ordonnait.
Son coeur tambourinait contre sa poitrine, ses muscles se tendaient, son visage était maintenant trempé de sueur froide : tout son corps était paré en cas d'imprévu majeur.
Torko- Messages : 31
Date d'inscription : 25/06/2011
Age : 28
Re: Réveil brutal
par Sydno Lun 1 Aoû - 1:45
Tout se passa de manière prompt, Sydno sentait bien que l'homme n'avait rien préparé de tout cela. Se pensant en sécurité le samouraï garda son calme un moment. Mais avec beaucoup de flegme il parvint à cacher ses émotions et son air amical disparut. Sydno ne laissait paraître aucunes émotions il se contenta de se pencher à l'oreille de l'inconnu et de murmurer :
" Vous n'avez pas l'air de me vouloir du mal, venez chez moi, c'est petit et nous pourrons parler tranquillement... A moins que vous ne connaissiez mieux mon village que moi..."
C'était la première fois qu'elle telle chose se passait et Sydno ne savait pas trop comment réagir, il pensait avoir bien fait les choses...
Sydno se releva donc en même temps que l'homme et il le conduisit hors de la taverne, le samouraï s'assura de passer par les ruelles les plus sombres et les plus inconnues du village pour finalement arriver devant sa chaumière. Ils entrèrent dans cette dernière et Sydno soupira...
"Whao c'est bon on est en sécurité ici... C'est que ça demande beaucoup de concentration de ne pas laisser paraître ses sentiments ! Rassurez-vous comme je vous l'ai dit ici personne ne peut nous entendre ! Donc pourquoi cet affolement si soudain ?"
" Vous n'avez pas l'air de me vouloir du mal, venez chez moi, c'est petit et nous pourrons parler tranquillement... A moins que vous ne connaissiez mieux mon village que moi..."
C'était la première fois qu'elle telle chose se passait et Sydno ne savait pas trop comment réagir, il pensait avoir bien fait les choses...
Sydno se releva donc en même temps que l'homme et il le conduisit hors de la taverne, le samouraï s'assura de passer par les ruelles les plus sombres et les plus inconnues du village pour finalement arriver devant sa chaumière. Ils entrèrent dans cette dernière et Sydno soupira...
"Whao c'est bon on est en sécurité ici... C'est que ça demande beaucoup de concentration de ne pas laisser paraître ses sentiments ! Rassurez-vous comme je vous l'ai dit ici personne ne peut nous entendre ! Donc pourquoi cet affolement si soudain ?"
Sydno- Admin
- Messages : 200
Date d'inscription : 03/06/2011
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